Guide écrit par:
Sébastien, Responsable des contenus
A l’aune des chiffres que vous allez découvrir dans cet article, ainsi que des risques encourus et des conséquences sur l’environnement et l’Homme, vous ne pourrez que conclure au besoin d’une réglementation plus stricte et plus respectueuse sur les pesticides et engrais, et d’études sur leurs effets sur la santé.
Bien que cela paraisse évident, il est inutile de blâmer les agriculteurs... les paysans sont des amoureux de la terre, ils nourrissent le monde depuis toujours. Outre d’être les premières victimes, ils sont, comme la grande majorité des consommateurs, sous le joug d’une économie qui les dépasse. Système de production et mode de consommation doivent être repensés, de manière à s’inscrire dans une dynamique durable et pérenne et préserver les générations futures. Il n’y a pas de responsable unique, mais des sommes de comportements, et des nécessités et des ambitions justifiées par un système économique favorisant.
La consommation totale de pesticides en France représente quelque 110 000 tonnes par an, dont 90 % sont utilisées en agriculture et 10 % en usages autres. Premier utilisateur de pesticides en Europe, la France est le troisième consommateur mondial derrière les Etats-Unis et le Japon. L’Hexagone est également le premier producteur agricole européen, le premier producteur de maïs (culture consommatrice d’herbicide), et dispose de 28.4 millions d’hectares cultivés soit 22 % de la SAU totale (surface agricole utilisée).
En 2018, le Comité d’orientation stratégique et de suivi (COS) a constaté une hausse de consommation de produits phytosanitaires de 21 %, alors que l'Association des producteurs et vendeurs de produits phytosanitaires (UIPP) évoque de son côté une hausse de 8 %. Le ministère de l’Agriculture indique que le nombre de doses unités (NODU), calculé à partir des données de vente des distributeurs de produits phytopharmaceutiques, a augmenté de 24 %. Effet conjoncturel avec l’anticipation de la hausse de la redevance pour pollution diffuse (RPD) ou hausse de consommation due à la résistance des plantes, les avis sur les causes de cette augmentation divergent. Depuis le Grenelle de l'environnement fin 2007, les deux plans successifs Ecophyto I et II destinés à réduire les pesticides de synthèse ont été des échecs.
En avril 2019, la France lance un troisième plan intitulé Ecophyto II + pour réduire l'utilisation des produits phytopharmaceutiques en zones agricoles et non agricoles.
Les engrais sont destinés à apporter aux végétaux des éléments directement utiles à leur nutrition, leur croissance et leur rendement. Il peut s’agir d’éléments fertilisants majeurs, secondaires, ou d’oligo-éléments. Les engrais se répartissent en deux groupes :
Les engrais chimiques ou engrais minéraux : ils incorporent au support de culture des éléments nutritifs en forte concentration (sous forme liquide, de poudre ou de granulés).
Les engrais naturels ou engrais organiques : ils sont fabriqués à partir de substance animale et/ou végétale (fumier, résidus d’os, purin d'ortie etc.).
La formule NPK renseigne la teneur en éléments nutritifs des engrais, elle se compose de :
azote (N) qui agit directement sur la croissance des végétaux ;
phosphore (P) qui concentre son action sur l’enracinement, la résistance et la fécondation ;
potasse (K) qui augmente la résistance des végétaux et favorise le développement des bulbes.
Le terme anglo-saxon “pesticide” regroupe les produits chimiques utilisés en usage agricole et non agricole destinés à protéger les végétaux contre les organismes déclarés nuisibles (animaux, végétaux et bactériens) en vue d'accroître leur rendement (zone agricole, ZA) ou de maintenir un espace d’agrément dépourvu de végétaux et/ou d’animaux indésirables (zone non agricole, ZNA).
Les pesticides couvrent par définition deux catégories de produits :
les biocides ou produits désinfectants ;
les produits phytosanitaires ou phytopharmaceutiques.
Les biocides sont définis comme des substances actives ou produits utilisés pour rendre inoffensifs, repousser ou détruire les organismes déclarés nuisibles. Les biocides se répartissent en quatre groupes :
les désinfectants (désinfection des surfaces, hygiène…) ;
les produits de protection (protection des matériaux de construction (charpente), conservateurs etc.) ;
les produits de lutte contre les nuisibles (insecticides, répulsifs etc.) ;
les autres produits biocides (produits antisalissures…).
Les produits phytosanitaires sont des substances de nature chimique, biologique, ou des préparations formulées de microorganismes, utilisées en agriculture, sylviculture, horticulture, et dans les jardins et espaces d’agréments, sur des végétaux en zone cultivée ou non pour :
protéger les végétaux d’organismes nuisibles (destruction, répulsion ou limitation de croissance) ;
modifier ou réguler la croissance des végétaux (autres que les substances nutritives) ;
assurer la conservation des produits végétaux ;
détruire les végétaux ou les parties indésirables de végétaux ;
prévenir, limiter ou détruire la croissance des adventices (plantes indésirables).
Ils comprennent entre autres les herbicides, fongicides, bactéricides, insecticides, mais aussi les répulsifs pour oiseaux, la faune sauvage (serpents, taupes…), les inhibiteurs de germination, les algicides, les cicatrisants de végétaux, les produits de conservation des végétaux après récoltes (et bois vert) ainsi que les adjuvants pour améliorer les performances ou réduire la phytotoxicité.
Substances actives et produits sont différents, selon l’article sur la Maîtrise des produits phytosanitaires du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation :
les substances actives sont les « substances, y compris les micro-organismes, exerçant une action générale ou spécifique sur les organismes nuisibles ou sur les végétaux, parties de végétaux ou produits végétaux » ;
les produits sont « les mélanges ou les solutions composés de deux ou plusieurs substances destinés à être utilisés comme produits phytopharmaceutiques ou adjuvants ».
Le Roundup est un herbicide commercialisé depuis 1974 par Monsanto. Herbicide non sélectif dont la principale substance active est le glyphosate, sa simplicité d’utilisation et son large spectre en font le désherbant le plus utilisé au monde. En France, l’on attribue au particulier 60 % des ventes de Roundup. Il est également très utilisé par les agriculteurs, notamment sur les champs de blé, colza, maïs, mais aussi dans les vergers, les vignes, les oliveraies… Selon le programme AGRICE (Agriculture pour la Chimie et l'Énergie), avant interdiction de l’herbicide pour les particuliers (1er janvier 2019), 8 000 tonnes par an étaient utilisées dans notre pays. A l’échelle mondiale, 700 000 tonnes de glyphosate sont commercialisées dans plus de 750 produits.
Les effets sur la santé d'une exposition au glyphosate ou de la consommation d'aliments en présentant des résidus sont difficiles à évaluer ou plus exactement, ils réveillent des débats passionnés.... L’OMS l’a classé comme cancérogène probable, l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) prétend le contraire, et en France, l’ANSES l’a déclaré cancérogène probable en février 2016.
Le glyphosate est suspecté d’être un perturbateur hormonal entraînant l’infertilité, de nuire à la santé des animaux et à la biodiversité, de créer une résistance aux herbicides sur les végétaux (des 61 OGM autorisés à l’importation au niveau européen, plus de la moitié sont résistants au glyphosate). Ajoutons que ses adjuvants sont tout aussi si ce n’est plus toxique que le glyphosate lui-même... A date, le nom commercial Roundup demeure, mais la formule a été revue et le glyphosate supprimé.
Sur une initiative de l’association Générations Futures, 30 échantillons de produits de grande consommation ont été analysés, et la moitié contenait du glyphosate…. et sur des échantillons d'urines de 30 personnes, la totalité en présentait des traces.
Parce que les pesticides se retrouvent dans l’air, le sol, et le milieu aquatique, ils impactent directement et indirectement les écosystèmes et sont un facteur majeur d’incidence sur la diversité biologique. Les conséquences de l’utilisation des pesticides sont multiples :
perturbation de la fixation de l’azote par les plantes légumineuses ;
diminution des plantes dans les champs ;
intoxication directe ou indirecte des organismes ;
réduction de l’offre de nourriture (adventices, graines, insectes) et donc des espèces s’en nourrissant ;
baisse de la fertilité des espèces ;
malformations physiques ;
développement de cancers...
Plus de 20 % des plantes présentes dans les champs ont diminué, et l’on estime que plus de 15% du patrimoine végétal national est en danger.
Les sulfamides et imidazolinones représentent un risque pour les plantes non ciblées, les algues et les écosystèmes.
Les herbicides triazines représenteraient un risque pour les plantes non ciblées et les plantes aquatiques.
Comme conséquence directe, on observe principalement la disparition d’animaux par ingestion du produit, quant aux conséquences indirectes, elles représentent essentiellement les ressources vitales polluées (eau et/ou nourriture). Concret et mesurable, l’impact sur la faune concerne de nombreuses espèces.
Les néonicotinoïdes ont un effet dévastateur sur les insectes pollinisateurs comme les abeilles car ils provoquent la perte d’orientation, la paralysie et la mort.
L'atrazine provoque des anomalies sexuelles chez les amphibiens nuisant à leur reproduction.
Outre la disparition de 80 % des insectes, principales nourriture des oiseaux, les néonicotinoïdes réduisent leur fertilité et sont source de malformations physiques.
Les organophosphates et les carbamates, que l’on retrouve sur les pelouses, sont associés entre autres à des cancers chez les animaux de compagnies et de nombreuses mortalités d’oiseaux ont été observées à cause de l’absorption de ces insecticides.
Les mélanges de pesticides retrouvés dans l’eau peuvent agir comme perturbateurs endocriniens chez les espèces aquatiques ; l’atrazine ou diazinon peuvent avoir des effets sur leurs mécanismes de reproduction notamment.
Les utilisateurs de produits phytosanitaires sont exposés à deux types de risques d’intoxication, l’intoxication aiguë et l’intoxication chronique.
Si elle est légère, l'intoxication aiguë se traduit par des rougeurs sur la peau, des vomissements, nausées… ces symptômes sont observés par un utilisateur sur 5 ; si elle est grave, elle se traduit par des troubles respiratoires, digestifs, nerveux et peuvent entraîner la mort.
Les contaminations légères ou passagères répétées représentent un risque d’accumulation dans l’organisme et peuvent provoquer des effets graves comme des :
cancers (cancer du cerveau, les sarcomes des tissus mous, les lymphomes non hodgkiniens, la maladie de Hodgkin, la leucémie….) ;
conséquences sur la reproduction (diminution de la fertilité, de la production et de la mobilité des spermatozoïdes…) ;
perturbations du système endocrinien (déséquilibre du système hormonal, cancer du sein, de la prostate, endométriose…) ;
répercussions sur le système immunitaire (chute de production d’anticorps et des réactions d’hypersensibilité retardée) ;
maladies neurodégénératives (difficultés comportementales, psychologiques, motrices…) ;
pathologies chroniques comme des affections hépatiques, respiratoires (asthme), neurologiques (maladie de Parkinson)...
Le ministère de l’Agriculture a pour objectif d’éliminer les produits Cancérogènes Mutagènes et Reprotoxiques et les substances préoccupantes du marché français (PIRPP 2006-2009, Plan Ecophyto 2018).
Une vingtaine de pathologies chroniques sont reconnues en maladies professionnelles à ce jour.
Quel que soit le type d’exposition, les substances présentes dans les pesticides pénètrent dans l’organisme par voie cutanée, respiratoire et digestive (orale). Les professionnels du secteur agricole sont particulièrement exposés à une contamination par voie cutanée et respiratoire, alors que la population générale par la voie orale.
L'exposition aux pesticides peut se produire lors de leur fabrication, de leur utilisation, mais aussi par l’air, l’eau, les denrées alimentaires et les surfaces contaminées. Ainsi, les personnes les plus exposées sont les utilisateurs, soit les agriculteurs, les personnes en charge de l’entretien des voiries, des espaces communaux, des terrains de sport, de loisirs, des voies ferrées, mais aussi les professionnels de la désinsectisation, de l’hygiène publique, du traitement des bois etc.
La population générale est elle aussi exposée, notamment si le lieu de résidence est voisin de zones traitées par des pesticides et donc de sols et d’air extérieur contaminés…. A cela s’ajoutent les usages de pesticides à domicile (traitement des plantes, du jardin, des bois etc.) et l’ingestion de résidus de pesticides présents dans les aliments et boissons.
L’ingestion de résidus pesticides est souvent considérée comme la source d’exposition principale en population générale.
En France, les résidus de pesticides présents dans les aliments non bio (fruits, légumes, céréales, infusions, aliments pour bébé) font l’objet de plans de surveillance annuels réalisés par la DGCCRF (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes). Dans l’objectif de répondre aux préoccupations des consommateurs, l’association Générations Futures a établi un rapport intégrant les données des plans de surveillance de 2012 à 2017. Pour cette étude, l’association n’a retenu que les végétaux analysés au moins 5 années sur 6, dans un échantillon conséquent, sur les résultats de plus de 13 000 analyses et sur 18 fruits et 32 légumes. Les résultats ? En moyenne 71,9% des échantillons de fruits contiennent des résidus de pesticides, dont 2,9% dépasse la Limite Maximale en Résidus (LMR), et 41,3% des échantillons de légumes dont 3,4% de dépassement de LMR.
Les engrais chimiques sont principalement utilisés dans l’agriculture pour améliorer le rendement des cultures en apportant aux végétaux des éléments utiles à leur nutrition et croissance.
En excès dans le sol, l'azote est considéré comme un facteur de risque important pour l’environnement, car sous forme d’ions nitrates, il est très soluble, non dégradable et faiblement retenu par les sols. S’il est apporté en quantité trop importante dans les cultures, l’excédent peut être entraîné hors de la zone racinaire et dans les profondeurs du sol et polluer les eaux souterraines et superficielles.
Si les engrais azotés permettent d'accroître les rendements des récoltes, ils sont aussi pointés du doigt car les nitrates qui en sont issus sont responsables de la pollution des eaux superficielles et souterraines. L’on estime à 66 % le taux de contamination attribué à l’activité agricole, et à 10 millions le nombre de personnes exposées à consommer de l’eau à des niveaux d’azote trop élevés. Précisons également que le cycle de l’eau fait que les substances chimiques contenues dans les engrais se retrouvent dans les rivières, les fleuves, les mers, océans, forêts…
Les éléments non consommés par la plante nuisent à l’écosystème immédiat, à la faune (vers de terre…) et aux micro-organismes (bactéries, champignons…) présents dans le sol. L’appauvrissement du sol en matière organique réduisant sa fertilité, une dépendance aux engrais se crée pour les cultures.
La couche d’ozone est également impactée par l’usage des engrais azotés. En effet, les phénomènes de dénitrification et de volatilisation de l’ammoniac génèrent des gaz à effet de serre environ 150 fois plus actifs que le dioxyde de carbone. L’utilisation intensive des engrais, couplée au mauvais drainage d’une zone trop arrosée, peut également provoquer la salinisation des sols et conduire à leur stérilisation et leur désertification. 7 millions d’hectares seraient devenus inexploitables en Inde à cause de cette mauvaise pratique.
Les nitrates associés aux phosphates contribuent aux phénomènes d'eutrophisation.
Avant l’utilisation intensive des engrais qui a débuté dans les années 50, la teneur en nitrates par litre d'eau n'excédait pas 1 mg. Aujourd’hui, la concentration avoisine facilement les 50 mg/l, limite fixée par l'Organisation Mondiale de la Santé pour considérer une eau comme étant potable à la consommation.
Les nitrates sont présents dans l’eau de manière naturelle, mais aussi suite à une contamination anthropique. Dans l’organisme humain, les nitrates se transforment en nitrites et peuvent présenter un risque pour la santé, en modifiant les propriétés de l’hémoglobine du sang en impactant le transport correct de l’oxygène par les globules rouges. Le danger sanitaire concerne plus spécifiquement les femmes enceintes et les nourrissons. Et chez ces derniers, la méthémoglobinémie provoque des cyanoses parfois sévères (coloration bleuâtre de la peau et des muqueuses). Notons que l’exposition passe par l’ingestion d’aliments à hauteur de 80 % et d’eau à 20 %.
En 2013, l’lnstitut National de la Santé et de la Recherche Médicale (Inserm) produit l’expertise collective « Pesticides - Effets sur la santé », chargée d’identifier les risques sanitaires associés à l’exposition professionnelle aux pesticides (en particulier en secteur agricole) et sur les effets d’une exposition précoce du fœtus et du jeune enfant. Résultat de l’expertise ? L’Inserm a rapporté des associations positives entre l’exposition professionnelle à des pesticides et certaines pathologies chez l’adulte comme la maladie de Parkinson, le cancer de la prostate et certains cancers hématopoïétiques (lymphome non hodgkinien, myélome multiple). Les expositions intervenant au cours des périodes prénatale et périnatale, ainsi que lors de la petite enfance, semblent être particulièrement à risque pour le développement de l’enfant. Les risques sur l’exposition des riverains des zones agricoles n’intègrent pas les conclusions de l’étude.
Dixit la synthèse de l’Inserm :
“Les contraintes dues aux méthodes analytiques et le choix des molécules à analyser font qu’aujourd’hui l’exposition en France à de nombreuses substances est encore inconnue. Il en est ainsi pour les fongicides qui sont très peu recherchés, pour le glyphosate qui nécessite une méthode de prélèvement et d’analyse dédiée, et pour les nouvelles molécules pour lesquelles aucune méthode analytique n’est validée à l’heure actuelle. En milieu professionnel, relativement peu d’études ont été développées pour évaluer les niveaux de contamination réels des populations lors des traitements ou après les traitements (contact avec les cultures traitées par exemple).”
De nombreux règlements et arrêtés concernent les normes applicables, les autorisations de mise sur le marché, de permis de matières fertilisantes, d’adjuvants, et de supports de culture. Citons la directive européenne 91/676/CEE du 12 décembre 1991 qui concerne la protection des eaux contre la contamination par les nitrates de sources agricoles. Ses mesures se traduisent par l’établissement de programmes d’actions encadrant l’utilisation des engrais azotés pour des zones cibles déclarées vulnérables. Les départements concernés établissent alors un programme d’action ayant pour objectif de corriger les pratiques les plus polluantes. Selon le site du gouvernement dédié à L’environnement en France :
“Début 2015, environ 55 % de la surface agricole de la France est classée en zone vulnérable : environ 18 400 communes sont concernées, essentiellement localisées dans les bassins Adour Garonne, Loire-Bretagne, Rhône-Méditerranée et Seine-Normandie.”
En matière de produits phytosanitaires, la législation ne cesse d’évoluer et ce pour la santé des applicateurs et la protection de l’environnement. Agricultures & territoires met à disposition un Guide phytosanitaire constitué de 26 fiches pour tout savoir sur la réglementation. Pour conclure, et être au fait des dernières mesures et rapports dans le domaine, vous pouvez consulter le site Agricultures & territoires en cliquant sur ce lien, ou bien télécharger directement le Guide phytosanitaire ici.
Ci-dessous une sélection de cinq articles s'inscrivant dans l'éco-responsabilité et le développement durable.
Sources :
senat.fr, lexpress.fr, agriculture.gouve.fr, anses.fr, agriculture.gouv.fr , generationsfutures.fr, generationsfutures.fr, solidarite-sante.gouv.fr, ree.developpement-durable.gouv.fr, solidarites-sante.gouv.fr, inserm.fr, ree.developpement-durable.gouv.fr
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Sébastien, Responsable des contenus
A l’issue d’études dans le commerce, j’ai appris par opportunité la profession de charpentier. Noble mais dur métier, les hivers et la pluie m’ont incité à descendre des toits et à pousser les portes d’une quincaillerie où sans grande surprise, je me suis retrouvé quincaillier. Le métier m’a plu et au fil des années, j’ai accumulé les expériences dans plusieurs Grandes Surfaces de Bricolage. Entre deux magasins, je poursuivais mon apprentissage et travaillais en serrurerie, couverture, imprimerie ou dans le secteur industriel pour des sociétés de traitement de surface, de fabrication de vases d’expansion... L’envie de transmettre m’a ensuite conduit à me former au métier d'enseignant de Français Langue Étrangère, puis j’ai commencé d’écrire des articles de voyage, puis de bricolage pour monEchelle.fr. Aujourd’hui Rédacteur des contenus de la section Conseil technique de ManoMano, j’ai le plaisir de travailler avec une communauté de vrais experts dont un jardinier hors pairs, un soudeur émérite, un plombier passionné et encore beaucoup d’autres. Restituer un conseil impartial est ce que nous faisons de mieux, et ce que nous continuerons de faire pour vous.